Des élus de Lot-et-Garonne et de Dordogne se sont réunis ce 17 avril pour évoquer les actions à mener. L’objectif : faire pression sur la Région et la SNCF
Le « train de la colère » s’est arrêté, ce mercredi 17 avril, dans la salle polyvalente de Saint-Front-sur-Lémance , commune dont la maire, Marie Costes, a reçu « une autorisation de démolir la gare sans qu' sache qu’elle était fermée ». C’est ce type d’agissements de la SNCF qui met à bout les maires de Dordogne et de Lot-et-Garonne, riverains ou proches voisins de la ligne Agen-Périgueux.
D’autres actions, telles que bloquer des TGV pendant une journée à Agen ou utiliser le passage du Tour de France étaient aussi envisagées. Le maire du Pays-de-Belvès proposait, pour sa part, la réalisation d’un film d’une minute à diffuser sur les réseaux sociaux pour mobiliser la population, en particulier les jeunes, afin que le mouvement prenne de l’ampleur et soit entendu.
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