, deux pathologies lourdes. Sa première affection est une maladie rhumatismale qui atteint surtout la colonne vertébrale et le bas du dos. Elle se traduit par des douleurs et une perte de souplesse des articulations.Caroline Lhomme :"J'aimerais que mon livre aide les valides à voir les personnes handicapées différemment"
Pendant plusieurs années, elle est contrainte de s'isoler aux toilettes ou dans une pièce vide pour prendre son traitement."Je ne me voyais pas en parler ouvertement et 'imposer' en quelque sorte ma maladie en faisant mes piqûres devant des gens par exemple." Les progrès de la médecine aidant, elle peut désormais se soigner en toute discrétion.
J'ai parfois souvent eu la sensation que certaines personnes pensaient que je mentais ou que j'exagérais. Pour Julia, il a toujours été hors de question d’évoquer d’emblée son handicap à de futurs employeurs."Je n'ai jamais parlé de mon diabète lors de mes entretiens d'embauche ou pendant les premiers mois de mes contrats. Je sais que les problèmes de santé peuvent rendre les employeurs frileux. J'avais déjà entendu trop d'histoires allant dans ce sens.
Évoquer son handicap peut s’avérer être libérateur. Quand Julia souffre des effets secondaires de la maladie, elle n'hésite plus à en parler."Les gens sont alors plus compréhensifs et n'associent pas mon attitude à quelque chose de négatif. Ils ne risquent pas de penser : 'C'est quoi son problème à celle-ci aujourd'hui ? Elle a dû se lever du pied gauche !'".
Très bon article.
oui d autant qu on parle de situations de handicap
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