En plein cœur de la capitale bourguignonne, vendredi matin, les habitués du marché des grandes halles de Dijon se bousculent autour du vaste édifice vitré. Ouvert quatre jours par semaine, l’espace couvert abrite poissonneries, boucheries, primeurs et autres commerces de bouche, rythmant l’activité de tout le centre-ville.
Le cofondateur de l’Observatoire société et consommation , Philippe Moati constate lui aussi une modification des comportements de consommation par rapport au premier confinement : «Déjà nous avons perdu 70% de chiffres d’affaires en novembre. Les truffes sont des produits de fêtes, décembre représente un tiers du chiffre de l’année»,
La motarde de Dijon n'a plus de débouchés, ça tourne au vinaigre.
😝pareil en province.
Je pense qu’il n’y a pas qu’à Dijon .. et je n’y connais rien .. cpasdelinfo
C'est la faute du gouvernement.
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