Une pluie de bébés, des noms d’oiseaux qui volent : le deuxième roman de Grégory Le Floch est d’une loufoquerie qui fait parfois penser à du Lewis Carroll en version macabre. Son narrateur ne tombe pas dans un trou comme Alice, mais la chute le fascine. D’où, loin dans le roman, les bébés jetés par les fenêtres d’une maternité new-yorkaise, pour sauver des mères aux visages ravagés de tristesse.
L’Autriche, New York : le voyageur va être amené, poussé par des coups de vent du destin, ici et là, sans vraiment trouver de réponse à sa quête.Les hypothèses s’effondrent les unes après les autres, la chose n’est ni un bibelot du cabinet de Freud à Vienne, ni une truffe, ni un étron fossilisé d’un grand nom de la musique classique. Est-ce un résidu d’un jumeau mort in utero ? La réalité est de plus en plus distordue.
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.