A partir du XVIe et certainement du XVIIe siècle, les étés sont devenus systématiquement plus chauds et les hivers progressivement plus secs dans le nord-ouest de l'Europe, selon les résultats d'une étude de la VUB, de l'Université de Gand et de l'Institut royal des sciences naturelles de Belgique publiés jeudi.
►►► A lire aussi: Crise climatique: une décennie record,"beaucoup" de phénomènes extrêmes attendus en 2020 "La quantité et la composition isotopique de cette eau varient en fonction de phénomènes saisonniers", explique Niels de Winter, scientifique à la VUB."Leur analyse nous permet donc de déduire comment les précipitations ont évolué au cours des siècles, saison après saison, année après année. Ces variations nous renseignent aussi sur les températures de surface.
L'impact de l'humain Il en ressort qu'il y a eu des fluctuations saisonnières de températures et de précipitations. Ces variations, de même que la couverture végétale du sol au-dessus de la grotte, déterminent la quantité d'eau qui atteint la stalagmite au fil du temps. "Au XVIIe siècle, nous observons les premiers signes nets des activités humaines", détaille Niels de Winter.
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