L'homme condamné le 21 décembre dernier par le tribunal correctionnel pour faits de harcèlement à l'encontre de la journaliste et écrivaine Myriam LeroyLe tribunal avait jugé les faits de harcèlement établis etavec sursis et au paiement de 3 000 euros de dédommagement. La participation à des séances de sensibilisation à la violence lui était également imposée.
Pour sa défense, le prévenu avait argué que ses propos, essentiellement diffusés sur les réseaux sociaux entre 2012 et 2015, relevaient de laet que si la justice avait à se prononcer à leur sujet, c'est à la cour d'assises, compétente pour les délits de presse, qu'il revenait de le faire, et non au tribunal correctionnel.
La peine infligée au prévenu en première instance tenait notamment compte du fait que ce dernier ne semblait à aucun moment avoir pris conscience de l'inadéquation de son comportement eu égard aux règles de la vie en société.
comment est-il possible de défendre le harcèlement qu’il soit online ou offline?
« De 2012 à 2015 », on est donc loin des « 9 ans de harcèlement » de ton podcast, GuiHachez. Selon Le Vif, marcelsel disait donc vrai et tu as diffusé des fake news.
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