Loin de la cordillère des Andes où ils paissent paisiblement en groupe habituellement, c’est sur des plaines de la Province du Luxembourg que Laurence et Éric Varlet élèvent des alpagas. "Je peux toutes les nommées. Là il y a Indochine, ici Yota ou encore Easy glory un peu plus loin. Elles ont toutes un petit prénom", raconte Laurence en nourrissant son troupeau de jeunes alpaguettes.
De l’élevage à la filature En Belgique, l’alpaga est considéré comme un animal domestique et ne peut être consommé. Dans certains pays, on vend et on mange la viande de l’animal, mais c’est très peu le cas en Europe. Pour diversifier leurs activités et profiter de la qualité de la fibre de leurs animaux, Laurence et Eric ont fait construire une petite filature. "On a notre atelier. On transforme les toisons en fil à tricoter.
En parcourant le magasin, même s’il y a toutes les gammes de prix, il faut parfois débourser plusieurs centaines d’euros pour certains produits. "Les alpagas produisent une fibre de luxe. Quand on atteint les hautes qualités comme celle du baby alpaga, ce sont des fibres en dessous de 19 microns . Seulement 1% de la population d’alpaga produit cela. Dans ce cas-là, c’est un produit de grand luxe", admet l’éleveur.
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