Un coup d'Etat a été perpétré lundi en Birmanie par la puissante armée qui a arrêté la cheffe de facto du gouvernement civil Aung San Suu Kyi, proclamé l'état d'urgence pour un an et placé ses généraux aux principaux postes.
"Nous avons entendu dire qu'ils étaient détenus à Naypyidaw", la capitale du pays, a précisé à l'AFP le porte-parole de la LND, Myo Nyunt. Lire aussi: Birmanie: Aung San Suu Kyi, la chute d'une icône "Les États-Unis s'opposent à toute tentative de modifier le résultat des récentes élections et prendront des mesures contre les responsables", a averti la porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki, dans un communiqué.
Ce coup d'Etat intervient alors que le Parlement issu des dernières législatives devait entamer sa première session ce lundi.
La Birmanie, ce Pays si prisé des touristes . . . Quelle Honte . . .
et on laisse faire , tout compte fait ça nous regarde pas .
Un peu comme en Belgique
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