📣 Entre syndicats et partis, «on marche en parallèle, mais chacun à sa place» 👉 A la raffinerie de Gravenchon, comme à Dunkerque, les grévistes apprécient le soutien de la gauche mais redoutent d’être «utilisés» par les politiques ⤵️
«C’est sympa de nous soutenir, mais ce n’est pas une réunion politique ici, c’est une grève de salariés qui se battent pour leur salaire,Il faut garder en tête que nous sommes dans une négociation locale, et quand on en fait un enjeu national, ça peut créer des interférences.»«Au début, les soutiens politiques, la France insoumise, tout ça, je voyais cela positivement.
J’aurais préféré qu’ils viennent juste dire qu’ils nous soutiennent, pas qu’ils en profitent pour faire leur confiture.»restent avant tout focalisés sur, explique Gaëtan Lecocq, élu CGT ArcelorMittal à Dunkerque.Mais il ne faut pas mélanger les deux actions. Certains d’entre nous iront peut-être [à Paris] en tant que citoyens mais pas en tant qu’organisation syndicale.
, ajoute Kevin Lippenoo, 33 ans, délégué syndical GRDF sur le site d’exploitation de Saint-Laurent-Blangy, près d’Arras.
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