« développé des éléments d’agression, des menaces de mort qui ne sont pas vérifiables ».un affront à toutes les femmes victimes de violences conjugalesLa cour a condamné une victime. Elle ne l’a pas crue. Elle avait la possibilité de remettre les choses à leur place en reconnaissant que le défunt était l’agresseur et la mise en cause une victime en état de #LégitimeDéfense.
La cour d'assise d'Évreux renvoie Alexandra 10 an en prison, même verdict qu'en 1ère instance. Elle n'a rien appris sur la légitime défense des femmes victimes de violences depuis Alexandra Lange, Adriana Sampaio, rien sur l'emprise depuis Valérie Bacot, Jacqueline Sauvage. 🤮, l’emprise de Sébastien Gest sur sa mère,perpétrées par cet homme qu’elle décrit comme manipulateur et alcoolique.
Le verdict prononcé samedi semble confirmer les mots de Me Quentin Dekimpe, lui aussi avocat d’Alexandra Richard, qui estimait justement queune volonté politique de faire passer un message qui serait “les femmes : encaissez, restez tranquille, si vous ne partez pas, c’est votre problème”. On veut dire aux victimes que c’est de leur faute. Alors qu’une victime n’a rien demandé, elle subit.
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