Élus, militants associatifs ou habitants, ils ont défilé jusqu’à la préfecture en brandissant les pancartes et des banderoles hostiles aux LVG Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax.Environ 450 personnes ont participé ce samedi 28 janvier à un rassemblement à l’initiative d’élus et de militants associatifs opposés aux projets de LGV.
Non, la lutte anti-LGV ne faiblit pas. Nouvelle confirmation ce samedi 28 janvier avec la mobilisation d’environ 450 personnes, venues soutenir l’appel des maires d’Irún, Bordeaux et Bayonne pour une modernisation de la ligne ferroviaire existante entre Bordeaux et l’Espagne à la place du projet LGV/GPSO .Non, la lutte anti-LGV ne faiblit pas.
Dans un Athénée municipal copieusement garni, Philippe Barbedienne, élu à Lerm-et-Musset et président de la Sepanso Gironde, a rappelé la nécessité de maintenir la pression sur l’État. « Nous sommes un caillou dans la chaussure, mais nous savons qu’un caillou peut bloquer un engrenage, une mécanique bien huilée.
Présent à ce rassemblement, Jean-René Etchegaray, maire de Bayonne, a aussi plaidé pour une régénération des lignes actuelles afin d’être au rendez-vous du « Y basque » . « Nous n’avons pas le temps d’attendre. » Et si l’État français persiste à vouloir imposer ses vues, « il faudra nous passer dessus », a-t-il tonné sous les applaudissements.
L’élu Philippe Barbedienne, cheville ouvrière du mouvement de ce samedi 28 janvier, avec les opposants dans le quartier Mériadeck.
Encore une poignée de connards
Bravo 👏✊🔥
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