"Il a eu tort d'employer le mot de consentement parce que ce mot est fétichisé, fait hurler tout le monde. Alain Finkielkraut a voulu restituer
sa singularité à une histoire dont tout le monde fait un étendard sans savoir réellement ce qu'il s'est passé. C'est-à-dire qu'il s'est demandé quelle était la nature exacte, tout en précisant que c'était très mal, parfaitement condamnable, inacceptable Il s'est interrogé sur la singularité de cette histoire","Il aurait dû, peut-être, dire 'acquiescement' ou 'consentement formel'.""C'est choquant, ce que vous dites""Soyez choqué.
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