a été ouverte par le parquet de Grenoble après un collage d’affiches jeudi à l’entrée de l’Institut d’études politiques , sur lesquelles on pouvait lire: “Des fascistes dans nos amphis. L’islamophobie tue”, avec les noms de deux professeurs.
“En complément de l’enquête judiciaire”, le ministère “prendra toute sa part afin d’apporter soutien à la direction de l’IEP de Grenoble et protection à ses agents”, a-t-elle ajouté, soulignant que “les menaces, les injures et les pressions n’ont pas leur place dans l’enseignement supérieur”. Frédérique Vidal “diligentera dans les meilleurs délais une mission de l’inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche afin d’établir les responsabilités de chacun et de contribuer à rétablir la sérénité au sein de cet établissement”, a-t-elle complété.
“Quand on jette en pâture des enseignants et qu’on les accuse sans aucune preuve, en leur mettant quasiment une cible dans leur dos, je considère que c’est du terrorisme intellectuel”, a fustigé Valérie Pécresse , présidente de la région Ile-de-France, sur BFMTV.
NCmichel Encore une fois le partisocialiste ne réagit pas, laisse la défense des professeurs diffamés et censurés aux partis de droite et au RN. Quelle honte! La gauche devrait être en première ligne contre la censure totalitaire.
Fabricenebuleu Il faut dissoudre l UNEf
ce n'est qu'un début, continuons le combat (contre l'islamo-gauchisme) !
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