?”, interpelle celles et ceux qui aspirent à s’installer à l’Élysée au printemps sur ce que sont leurs “engagements fermes, concrets pour apporter des réponses ”.
“La campagne pour l’élection présidentielle commence. Les mouvements #MeToo réunis interpellent les candidat·e·s et leur posent une simple question: qu’allez-vous faire pour que les hommes cessent de harceler, d’agresser et de violer ?”, résument les signataires en fin de tribune.
“Depuis cinq ans que la parole se propage au prix de risques parfois immenses pour les victimes, peu d’agresseurs ont été inquiétés, quelques-uns ont été promus, presque aucun n’a été condamné”, se désole le collectif.
“Ce quinquennat est celui d’une grande promesse non tenue concernant la lutte contre les violences sexuelles”, jugent les signataires qui veulent savoir ce qu’il “en sera du suivant ”. “Il est plus que temps que les pratiques changent, que les coupables, les complicités et les complaisances soient sanctionnés, juridiquement, professionnellement et socialement.
Faut déposé la plainte dé les faits et pas 15 ans plus tard vous ne croyez pas!
🤣😂