Nelly DidelotSon entrée au City Hall en 2016 avait fait du bruit. A 45 ans, Sadiq Khan, politicien travailliste fils d’immigrants pakistanais, devenait le, la capitale la plus cosmopolite d’Europe. Cinq ans plus tard, sa réélection apparaît comme une évidence. Pour la deuxième fois, Sadiq Khan s’est imposé largement, avec 55,2% des voix dès le premier tour contre 44,8% pour son concurrent conservateur, Shaun Bailey.
Un mandat ordinaire pour un dirigeant de centre gauche dans une capitale européenne en somme. Mais à Londres, un autre problème a aussi fait surface. Les attaques au couteau, contre des jeunes surtout, se sont multipliées pour atteindre des chiffres records et remettre la question de la sécurité au cœur de la campagne.
«Le parti conservateur est faible chez les jeunes, chez les minorités et chez les électeurs favorables au maintien dans l’Union européenne, c’est-à-dire chez une large proportion de la population londonienne»,A l’échelle de l’histoire récente de la ville, l’élection pour deux mandats de Boris Johnson à la mairie relève plus de l’anomalie que de la tendance, et s’explique en partie par le discours pro-européen que tenait alors l’actuel...
Alors que le reste des britanniques est constitué de vieux nationalistes, donc anti européens donc racistes donc antisemites donc homophobes donc islamophobes….des cons quoi! Merci Libération pour cet éclairage journalistique dénué de toute idéologie européiste populicide👍🏻👍🏻
Elle est surtout acquise à Sadik Khan qui semble être un homme sérieux et courageux, bien que certains doivent le considérer comme le musulman de service vendu
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
La source: LeHuffPost - 🏆 55. / 55 Lire la suite »
La source: LeHuffPost - 🏆 55. / 55 Lire la suite »
La source: LeHuffPost - 🏆 55. / 55 Lire la suite »
La source: RTLFrance - 🏆 82. / 51 Lire la suite »