«On ne s’élève jamais en vendant son corps, au contraire, on descend toujours plus bas, parfois jusqu’aux ténèbres…»
Linda, 77 ans, a passé la moitié d’un siècle à dévaler cette pente. Dans l’engrenage d’une violence quotidienne, sur le trottoir, dans des maisons closes, des palaces, des hôtels sans horizon ou dans son studio de la rue Saint-Denis, elle n’a jamais pu échapper à la prostitution. décrit son existence par le menu, celle d’une femme dont la pratique quasi-quotidienne de l’amour tarifé a emprisonné la destinée.
Il faut emprisonner les proxénètes et laisser les femmes propriétaires de leurs corps après la morale est la propriété de chacun de nous
C’est à cause des prohibitionnistes qu’elles ont cette vie d’enfer. Elles mériteraient d’être protégées et d’avoir un cadre sain et chaleureux pour exercer leur métier qui au final fait du bien à la société. Exemple des FKK en Allemagne c’est parfait.
On s'en branle un peu,le mot est approprié
C'est en tout cas moins minable que les journaux pathétiques qui tentent de vendre leur merde racoleuse sur le Net !!!
C'est un 'travail' le sexe ? Sérieux ? Plus personne ne connait le sens des mots en France ?
Elles méritent d'être protégées, parcequ'elles rendent beaucoup de service.
La prostitution devrait être légalisée, et mieux, les prostituées (hommes ou femmes) devraient être fonctionnaires de l’État, c'est à dire protégées. Il n'y a pas de raison, autre que celle de l'ordre moral, pour interdire cette activité professionnelle des plus anciennes.
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