Au sixième jour d’audience, le président de la cour d’assises spéciale a laissé la possibilité aux quatorze accusés présents de «préciser leurs positions». Un moment de parole dont a une nouvelle fois profité Salah Abdeslam pour justifier les attentats.Palais de justice de Paris, ce mercredi, au procès des attentats du Bataclan et du Stade de France.On craignait qu’il ne s’exprime pas.
Une nouvelle fois, la salle se fige. Sur les grands écrans suspendus, continue de se mouvoir le regard étrangement serein d’Abdeslam, en gros plans. «Alors moi je vous dis : on a combattu la France, on a attaqué la France, on a visé la population des civils, mais en réalité, on n’a rien de personnel à leur égard. On a visé la France et rien d’autre»,Son laïus a duré environ cinq minutes, sa voix n’a jamais vrillé.
«Les avions français qui bombardent l’Etat islamique ne font pas la distinction entre les hommes, les femmes et les enfants. On a voulu que la France subisse la même douleur que nous subissons», a-t-il poursuivi, inaudible tentative pour justifier ce qui a pu conduire dix hommes à tuer 130 personnes et à en blesser près de 400 autres en huit lieux différents et trente-sept minutes.
S’il avait combattu la France, il se serait opposé aux forces armées. Il s’en ai pris à dés civiles sans défense. C’est un faible, un lâche, un impuissant sexuel frustré. A la guillotine.
combattre, c 'est être courageux un minimum. Là c'est juste de la lâcheté. Abdeslam est une larve ...
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
La source: 20Minutes - 🏆 6. / 93 Lire la suite »
La source: BFMTV - 🏆 14. / 75 Lire la suite »
La source: LeHuffPost - 🏆 55. / 55 Lire la suite »
La source: Le_Figaro - 🏆 15. / 73 Lire la suite »
La source: libe - 🏆 26. / 65 Lire la suite »