Vous nous avez interrogés sur des critiques émises par La France insoumise et d’autres commentateurs concernant la méthodologie de certains sondeurs , consistant à ne prendre en compte, dans leur enquête sur les intentions de vote, que les personnes ou de défavoriser les candidats extrêmes . LFI avait annoncé début septembre avoir saisi la Commission des sondages sur le sujet.
«Il y a une différence de méthode, certains téléspectateurs peuvent s’en étonner, entre le sondage Ipsos qui est paru hier dansIpsos demande une intention de vote uniquement aux gens qui sont sûrs d’aller voter. Ce qui défavorise Jean-Luc Mélenchon, très clairement, et Marine Le Pen. Parce que ça défavorise les extrêmes qui mobilisent moins à six, huit mois des élections.
Ces différences peuvent-elles tenir à la méthode utilisée ? Ce qui est sûr, c’est que les méthodologies divergent selon les instituts, et qu’il n’est pas toujours aisé, sur la base des informations publiques, de s’en faire une idée très claire., et après quelques coups de téléphone, nous avons essayé de comprendre comme chaque institut procédait.
Ah bah c'est sûr qu'il est important de tenir compte des intentions de vote de ceux n'ayant pas l'intention de voter ! :D Sinon on peut aussi inclure les non inscrits sur liste électorale
. QUAESTIO IN VERITAS ? Pas de différences entre un référendum et un sondage, les réponses dépendent de la formulation des questions Vous avez dit manipulation ? .
Ceux qui ne savent plus pour qui voter sauront contre qui voter. Comme aux régionales... Pour ça que ça sera pas intéressant 🥱
Lol
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