Avant la crise du coronavirus, les impôts de production étaient déjà massivement dénoncés par les chefs d'entreprise. Aujourd'hui, ils pourraient même mettre à terre des entreprises fragilisées par les conséquences économiques de la crise sanitaire.
La question n'est pas nouvelle mais les conséquences de ces impôts sont bien plus lourds en période de crise, souligne celui qui est aussi le patron de Sisley. Surtout, contrairement à l'Allemagne où les impôts de production sont payés sur les bénéfices, en France"ils sont payés sur le travail, sur l'investissement et sur le chiffre d'affaires". C'est donc la double peine pour des entreprises dont l'activité a ralenti pendant la crise."Ces impôts de production sont dramatiques en période de crise", martèle le responsable.
Il y a donc urgence à modérer"ce monstre fiscal" et le gouvernement planche d'ailleurs sur des trajectoires de baisses."Vous avez effectivement une trajectoire qui est en train d'être discutée, qui doit être valorisée. Mais là aussi c'est du donnant-donnant. On va pas baisser les impôts de production sans contreparties.
Le METI, c'est le mini MEDEF, normal qu'il réclame moins d'impôts 👍🏾 Et laissez moi deviner ? Il va falloir travailler davantage ?! Pfiou scoop sur scoop, merci
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