« Il y a des sites plus pollués que d’autres en Occitanie, on peut avoir des agricultures et jardins en plein sol dans la plupart des endroits, à des exceptions comme dans l’Aude, à, il y faut mieux éviter », pose celle qui a fondé le réseau Agriville, une plateforme d’échanges sur les ressources, innovations et recherches participatives en matière d’agricultures urbaines.
Il y a encore une vingtaine d’années, il était difficile de savoir si l’usine qui était installée auparavant sur un site utilisait des produits chimiques susceptibles de polluer le sol. « Aujourd’hui, il existe des outils, notamment des inventaires commePollution des villes et des champsCastanet , au sud de Toulouse, où, après analyses, on s’est rendu compte qu’il y avait une concentration d’arsenic au sein des puits des jardins collectifs. « Nous avons contacté l’Agence régionale de santé qui a fait des prélèvements et les puits ont été fermés. Ils ont pu continuer à exploiter les jardins car les sols n’étaient pas le problème », raconte la professeure de l’Ensat.
Pour elle, avant de se lancer, il faut faire une petite enquête préalable sur l’environnement du site et faire quelques analyses pour détecter, par exemple, la présence de métaux.
Reste que la pollution des sols n’est pas la seule à être présente en ville. Avec la circulation automobile, l’air ambiant peut aussi être chargé en métaux lourds comme le plomb.
Oui bien sûr, ça revient à pécher dans la Seine c'est tout 👌
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
La source: marieclaire_fr - 🏆 19. / 68 Lire la suite »
La source: Vogue.fr - 🏆 77. / 51 Lire la suite »
La source: BFMTV - 🏆 14. / 75 Lire la suite »
La source: 20Minutes - 🏆 6. / 93 Lire la suite »
La source: BFMTV - 🏆 14. / 75 Lire la suite »