La pluie s'est invitée à Caracas. Pas de quoi doucher l'humeur protestataire du groupe de reggae Novanout qui chante devant le public d'une des dernières scènes dédiées à la musique alternative vénézuélienne qui, outre la crise économique, doit affronter la censure.
Julio, le chanteur de Novanout, s'en amuserait presque."Merci, Poliedro !", braille-t-il au micro de sa salle de répétition, comme s'il se trouvait face aux 20.000 spectateurs que peut contenir le Poliedro. Et même les groupes vénézuéliens sont à la peine."Je ne dirais pas que la scène a disparu, mais elle est sans doute moins active qu'il y a quelques années", résume Julio Zamora.
Des paroles qui n'ont rien d'anodin 25 ans plus tard, dans un Venezuela qui traverse une grave crise politique où l'opposant Juan Guaido tente d'évincer le président socialiste Nicolas Maduro. Un concert d'une quarantaine de minutes dans un bar leur rapporte 30 à 40 dollars. Dans ces conditions, difficile de s'acheter un nouveau jeu de cordes pour guitare .
L’art est un hobby qui a été créé par les classes supérieures au moyen âge... l’info ne m’étonne pas
Ok me semble que c'est le pays tout entier qui n est plus que l ombre de lui même.
AFP se met à la critique musicale, mais uniquement sur le Venezuela. Agence France Propagande. Pouvez vous m'informer sur l'état de la musique Jazz en Arabie Saoudite svp? Ou sur le rap au Tibet?
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