Les négociations annuelles obligatoires qui ont débuté cette année le 14 février à Naval Group et qui devaient se tenir sur trois dates se déroulent dans une ambiance un peu tendue.
», commence Amélie Pichon hier matin devant la base navale aux côtés des autres représentants de l’intersyndicale.
La direction a précisé qu’elle n’écouterait plus de contre-proposition syndicale et que si cela n’aboutissait pas, une décision unilatérale moins bien-disant serait prise. On est sur du chantage», s’indigne la responsable de la CGT, en indiquant que l’intersyndicale réfléchit donc aujourd’hui à la mise en place d’autres actions de mobilisation. », déplore à ses côtés Jean-François Rodriguez .