, le texte a déjà recueilli plus de 400 signatures de médecins, gynécologues-obstétricien.ne.s, sages-femmes et infirmières favorables à la pratique d'une IVG à 14 semaines , et prêt.e.s à s'y former. Ce texte intervient alors qu'une proposition de loi en faveur de l'allongement du délai légal de l'IVG en France, actuellement arrêté à 12 semaines, est actuellement examinée.
La plupart de ceux qui s’expriment sont des hommes qui ne reçoivent même pas des femmes en demande d’IVG. C’est insupportable ! "Je n’en sais rien. En même temps, on ne peut pas reprocher à des néophytes de statuer sur quelque chose alors que des professionnels affirment que c’est dangereux. Si j’étais sénatrice et que j’écoutais 'ceux qui parlent plus fort que les autres' en mettant en avant des idées personnelles et idéologiques, je ne prendrais peut-être pas le risque de mettre les femmes en danger.
Pour moi, c’est un combat idéologique de s’opposer à ce point à un geste qui est très bien fait près de nos frontières, au sein même de l’Union Européenne, et que l’on cautionne.
Ceux qui s’opposent à l’allongement argumentent sur le fait qu’il risque d’y avoir un recours plus tardif à l’IVG, qu'en dites-vous ?