À commencer par celui de ladite “vulgarité”, une notion au croisement du sexisme et du mépris de classe. Le terme, dont l’étymologie latine “vulgus” signifie “la populace”, est depuis longtemps utilisé pour qualifier “la fille du peuple, la traînée, la demi-mondaine”, nous explique l’autrice, en comparaison aux femmes riches, désirées pour leur pureté.
Un moyen pour elle de s’émanciper de la pudeur du milieu intellectuel dans lequel elle a grandi, mais aussi pour comprendre l’effet qu’exerçait son corps dans l’espace public. “J’étais ma propre personne”, bien loin du goût défini par les siens, concède-t-elle. Le “dégueulasse”, par exemple, peut être répulsif, comme un siège de la designer Adital Ela fait de paille et de crottin de cheval. Dans la série “Emily in Paris”, l’héroïne est, elle, sauvagement accusée d’être “ringarde”. La cause? Une petite tour Eiffel accrochée à son sac à main.
Les Crocs, les joggings, les bobs. On ne compte plus le nombre de vêtements populaires longtemps considérés comme de “mauvais goût” à avoir été récupérés par les créateurs de luxe. Certains, à l’instar de Demna Gvasalia chez, en ont même fait leur marque de fabrique. Cette démarche, que beaucoup qualifient de “provocante” ou “cynique”, interroge.
Il manquait ceux là dans la liste....
Enfin ! On va peut-être finir par parler des véritables 'méritants ' 🤩
C’est le sac de Balasko dans 'nuit d’ivresse'…!
Parceque les moches font la gueule?
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