Les élèves locaux ne cherchaient pas à se faire des amis qui ne faisaient que passer. Je me suis alors rapprochée d’un petit groupe d’étudiants australiens. Malheureusement, j’ai très vite compris qu’on n’avait pas grand chose en commun. Ils passaient leur temps à boire, faire la fête et aller en boîte. Ce n’est pas trop mon truc.
Je vivais avec des gens que je croisais peu et qui n’avaient pas du tout la même éducation que moi, que ce soit concernant la propreté ou le bruit. Je n’ai donc pas été aidée du fait d’être en “coloc”. Ça en a même rajouté en termes de charge mentale et de négativité.
Mon année a fini par s’achever dans le chaos et la panique de la crise sanitaire et je suis rentrée en France plus tôt que prévu. J’ai retrouvé ma famille, mes amies, et un poids s’est levé de mes épaules.. Vivant dans un quartier anarchiste d’Athènes, elle n’avait jamais été autant confrontée à la précarité… et à la solidarité.
Pas un mot sur ses études, ce qui confirme que Erasmus la plupart n'y voient qu'un moyen de s'amuser et pas une étape dans la construction de leur carrière future.
Lol... Avec des. Parents gauchos.. C'est sur on finit par croire que l'argent n'est pas utile... Lol.. Wake up.. Et vive le capitalisme en klke sorte.. Ça forme
Ils faut qu’ils arrêtent de pleurnicher
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