VU DANS LA PRESSE - Jacqueline Jencquel a mis fin à ses jours fin mars. Elle militait pour le droit à une "interruption de vieillesse volontaire".Crédit : Capture d'écran BrutJacqueline Jencquel voulait décider elle-même de la fin de sa vie. Elle n'avait pas de maladie grave. Seulement, elle ne souhaitait pas vieillir..
."J'espère que la loi va changer et que d'autres, après moi, auront la possibilité de partir, entourés de leurs proches, lorsqu'ils l'auront décidé et qu'ils auront atteint l'hiver de leur vie", a écrit celle qui militait au sein de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité. Elle se serait donné la mort chez elle en ingérant un barbiturique. Toujours dans ce texte d'adieu, elle a témoigné :"J’ai l’âge de mourir. Le danger est de vieillir encore plus. La dépendance et la décrépitude me font bien plus peur que la mort." Sa vie et sa mort furent un combat politique jusqu'au bout.", conclut-elle.
Absolument !!!! Je préfère un sucide assisté que de terminer dans un Ehpad
Le courage, façon Suisse…