Partager Ah la location de vêtements… Désormais, on louerait une robe comme on loue une voiture. L’idée est simple comme bonjour. Évidente même, à l’heure où la pratique du bail s’est généralisée et étendue aux objets.
En vidéo, les vêtements du futur imaginés par les créateurs en 1939 Déculpabiliser les modeuses Réinventer son rapport au vêtement hors du système de propriété, une nouvelle habitude à prendre donc. Que Lelia, 34 ans, a attrapée il y a deux ans. Cette Montpelliéraine raconte qu’elle adore la mode et la nouveauté. Qu’elle achetait beaucoup de «fringues», mais s’en lassait vite.
Si Lelia n’a eu aucun mal à passer à la garde-robe sous bail - hormis les tee-shirts, les pulls et les sous-vêtements qu’elle continue d’acheter - ce n’est pas l’affaire de tout le monde. Florentine, 32 ans, a tenté, mais n'a pas transformé l’essai. Séduite par l’argument écologique, elle estime que le système de location par abonnement n’est pas pour elle.