, durement touchée par la crise du coronavirus. Et la question des entreprises sous-traitantes ne manquera d’être abordée.se sont mobilisés à Blagnac pour dénoncer un plan de restructuration qui devait jusque-là concerner 900 suppressions de postes, dont 800 dans la région toulousaine.Mais dans la journée, la direction du groupe d’ingénierie, contactée par, a indiqué que ce chiffre était revu à la baisse.
Mais comme ses collègues, il se sent « sacrifié » et attend des mesures fortes du gouvernement et des pouvoirs publics pour limiter la casse. « Il faut que l’Etat arrête les subventions publiques, qu’il mette la pression à l’entreprise, les aides publiques ne peuvent pas financer la destruction de nos propres emplois », estime par ailleurs Franck Laborderie, délégué CGT de l’entreprise.
Un avis partagé par les élus locaux, qui ont tenu à apporter leur soutien, que ce soit ceux de la région ou du département. Ces derniers voient d’un mauvais œil de perdre des compétences. « La reconstitution de l’expertise et des savoir-faire détenus aujourd’hui par cette société prendra du temps et pourrait faire l’objet d’une délocalisation.
Si la CGT s'en mêle, ils sont morts. Direction chômage et pôle emploi
Encore cette CGT , totalement inutile et pourvoyeuse de casse d'entreprises !
Si la CGT s’en mêle .. c’est mort !!
Heu - je crois que personne ne veut volontairemznt être sacrifié... Mais si il n'y a plus de voyages, il n'y a plus d'avions, donc plus de sous traitants.
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