Miriam s'est retrouvée bloquée sans un sou à l'étranger quand son mari violent, britannique, a décidé de l'abandonner avec leurs trois enfants il y a plusieurs années. Désormais installée au Royaume-Uni, Miriam a dû mener une âpre bataille pour obtenir le droit de vivre dans le même pays que ses enfants, qui ont la nationalité britannique.
«On envoie aux agresseurs le message qu'ils ne subiront aucune conséquence s'ils s'en prennent à des femmes migrantes», dénonce-t-elle. Une commission parlementaire de la chambre haute des Lords a exhorté récemment le gouvernement à ratifier le texte avec cet article. Les femmes migrantes n'ayant pas droit aux aides de l'État, Miriam explique qu'il lui a fallu un an pour enfin trouver un soutien financier.
RazAkkoc Les petites anglaise de souche sont soulagées...
RazAkkoc 'Le Royaume-Uni accusé de laisser les femmes migrantes à la merci des violences commises par les hommes migrants'. J'ai terminé votre tweet. De rien.
RazAkkoc Le 'P' d'AFP doit être pour 'Propagande'. C'est tellement gros que ça en est risible. N'hésitez pas à faire du journalisme une fois de temps en temps.
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