a proposé aux Etats membres l’interdiction de cet additif controversé dans les préparations alimentaires. Pour l'instant, les cosmétiques et les médicaments ne semblent pas entrer dans le cadre de cette interdiction. Cette proposition n'a rencontré aucun refus, même si aucun calendrier n'a, pour l'instant, été proposé.
Elle réitèrait ainsi ses recommandations, en appelant à l'application du principe de précaution et donc à une limitation " de l'exposition des travailleurs, des consommateurs et de l'environnement, en favorisant des alternatives sûres et équivalentes en termes d'efficacité » . Ce nouveau rapport ne contredisant pas les dernières études faites sur ce colorant et face à une levée de boucliers des ONG, le ministre Bruno Le Maire avait annoncé
sa volonté d’interdire l’E171 à compter du 1er janvier 2020, "conformément à la position du gouvernement et aux dispositions votées par le Parlement dans l’article 53 de la loi Egalim
Bientôt. Dans 7 ou 8 ans ?