, est l'une de ces rares suites du cinéma français aussi réussie que le premier film. On y retrouve les grandes collines et paysages de carte postale, les couleurs or de la Provence, la même photographie poétique en somme. Le Château de ma mère
d'Yves Robert glisse de la réalisation romantico-familiale au drame. Sur la fin, la légèreté des champs de cigales disparaît, le film comme le récit deviennent plus graves, et plus tristes, le lecteur et le spectateur découvrent le sort funeste des personnages dépeints depuis deux tomes. Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d'inoubliables chagrins. Il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants.
Marcel Pagnol évoque la mort de sa mère, cinq ans après ces vacances magiques, puis celle de son frère, et celle de son ami, tombé au front durant la Première Guerre mondiale. L'autre réalité de la Provence de l'entre-deux-guerres."Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d'inoubliables chagrins. Il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants.
Avant de laisser place à l'émotion pure : la partition mélancolique de Vladimir Cosma. Autant de raisons d'être toujours aussi émus devant ces films intemporels.
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
La source: LeHuffPost - 🏆 55. / 55 Lire la suite »
La source: 20Minutes - 🏆 6. / 93 Lire la suite »
La source: 20Minutes - 🏆 6. / 93 Lire la suite »
La source: Le_Figaro - 🏆 15. / 73 Lire la suite »