C’est un challenge très excitant pour moi de prendre une maison avec une histoire si riche et d’en faire une marque couture 100% digitaleen amont de sa présentation. Il a embrassé sans ciller le format des fashion week à distance, présentant ses créations via des images frontales, comme si les mannequins - un casting toujours divers et inclusif - fixaient le spectateur droit dans les yeux.
Le but, c’est que le spectateur ait la même expérience percutante, qu’il soit en face du vêtement ou derrière son écran.Cette saison, il est revenu aux clips des années 90 et “ au glamour presque trash que cette décennie célébrait. J’aime flirter avec cette esthétique, trouver du goût dans le mauvais goût.
” Le résultat ? Du bling, du rose pétant, des postures provocantes. La collection est pleine de ces éléments déconcertants qui ont fait l’ADN decontinue de travailler chaque saison : une coque de téléphone en forme d’oreille dorée géante, des poitrines moulées dans des brassières ou sur des sacs à main, des casques comme moulés dans de l’or et des bijoux ultra bling.Les seins donc, mais aussi les mains, le torse, la forme du corps.
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