d’organiser ensemble ce colloque. L’énumération remplirait l’espace dévolu à cet article: Alain Finkielkraut, Jan Kavan, Gilles Kepel, Natacha Polony et Alain de Benoist ont notamment fait le déplacement.
La chute du Mur, on pense savoir un peu de quoi il retourne: la perestroïka, la glasnost initiées par Gorbatchev. Bien assis, on attend surtout la seconde table ronde qui traite des conséquences. Mais ces témoins de l’histoire ont une façon de raconter qui secoue les apathiques, nos oreilles se dressent.«Nous mourrons pour la Hongrie et pour l’Europe». Elles n’ont rien à voir ; elles sont pourtant et tristement liées.
Dans le même temps, l’Union européenne leur suggère à ces pays, de moins en moins amicalement, de s’ouvrir, de renoncer à leurs vieilles particularités nationales. C’est épuisant à la fin toutes ces identités, l’émergence d’une Union compétitive s’en trouve ralentie! Une voix de gauche s’élève ; Gilles Finchelstein dirige la fondation Jean-Jaurès et voudrait bien qu’on se rappelle que Schengen et l’euro ne doivent pas nous faire honte, que le niveau de vie s’est élevé dans les pays de l’ancien bloc de l’Est, qu’ils sont heureux d’avoir renoué avec la liberté. On l’écoute, quelques têtes l’approuvent. Puis, de nouveau, on avoue comprendre cette rupture entre les deux «poumons de l’Europe» .
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
La source: Le_Figaro - 🏆 15. / 73 Lire la suite »
La source: Le_Figaro - 🏆 15. / 73 Lire la suite »
La source: Le_Figaro - 🏆 15. / 73 Lire la suite »
La source: TeleLoisirs - 🏆 80. / 51 Lire la suite »
La source: 20Minutes - 🏆 6. / 93 Lire la suite »
La source: LeHuffPost - 🏆 55. / 55 Lire la suite »