Y avait-il quelque chose de pourri au sein de la balladurie ? Vingt-cinq ans après, la question s’impose à l’ouverture, ce lundi et pour un mois au tribunal correctionnel de Paris, du premier procès-fleuve dans la tentaculaire affaire Karachi, revisitant les contrats d’armement signés durant la deuxième cohabitation de la VRépublique, avec le Pakistan et surtout l’Arabie Saoudite.
En Arabie Saoudite, une rafale de contrats militaires ont été signés concomitamment, pour un total vertigineux de 28 milliards de francs . Là encore, tout était prévu : une commission de 8 % pour le prince Sultan, ministre de la Défense, une autre de 5 % pour le prince Fahd, chef de la marine saoudienne.
Sur l’insistance de Donnedieu de Vabres, Bazire paraissant également surveiller le deal comme le lait sur le feu. «J’étais le riche qui devait tout payer. […] Nicolas Bazire a repris contact avec moi pour me dire que Thierry Gaubert allait me porter un message de sa part : remettre, parce qu’ils en ont besoin, 1,5 million. C’était une demande de renvoi d’ascenseur après m’avoir obtenu la signature d’un contrat qui m’a amené beaucoup d’argent.»
Rétro certes, ce qui n'implique pas qu'elle doive passer par pertes et profits...
ça sonne cool comme titre, une des conséquences ce sont juste les attentats de Karachi, 14 morts dont 11 français, 40 blessés en 2002.
Très rétro ? Il n'y aurait plus de commissions occultes de nos jours ? je trouve que vous vous avancez beaucoup
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
La source: 20Minutes - 🏆 6. / 93 Lire la suite »
La source: RTLFrance - 🏆 82. / 51 Lire la suite »
La source: 20Minutes - 🏆 6. / 93 Lire la suite »
La source: Eurosport_FR - 🏆 54. / 55 Lire la suite »
La source: 20Minutes - 🏆 6. / 93 Lire la suite »