Joël Paris, entouré de son opticien Pierre Gautier et d’Alexandra Léonardi, responsable du programme verres spéciaux chez Essilor. Photo M.Ga.
Peut-on envisager se lancer à l’assaut des océans lorsqu’on est atteint d’une cataracte congénitale ?, il était au départ de la dernière transat Jacques-Vabre. Cela malgré une vision limitée . Après avoir relevé plusieurs défis, notamment la traversée Marseille-Carthage. Joël bénéficie d’un accompagnement de la part d’Essilor. Plus particulièrement de sa filière verres « hors normes », qui offre une solution à tous les besoins visuels. «
Il s’agit de verres uniques, qui répondent aux besoins de la personne. C’est un concentré de technologie qui nécessite 65 étapes dans son processus de fabricationJoël Paris bénéficie de ce savoir-faire grâce à des liens d’amitié avec Pierre Gautier, son opticien dont la boutique est au 132, avenue du Prado à Marseille.
Nous serons quatre à bord, dont un autre navigateur déficient visuel. Au-delà du symbole, ce que nous souhaitons montrer, c’est que la volonté peut ouvrir toutes les portes.» Essilor est partie prenante du défi. Et Joël Paris cherche d’autres partenaires, d’ici le 30 juin, jour du départ.
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