Après l’abattage de millions de volailles en début d’année, les aviculteurs, «traumatisés», peinent à remplir leurs élevages et à renflouer leur trésorerie. Alors que le virus menace de revenir à l’automne, la filière se divise sur les mesures à adopter pour y faire face.publié le 10 juillet 2022 à 10h25
Le virus a beau avoir disparu des élevages, l’angoisse, elle, subsiste. Entre février et mai, un épisode particulièrement sévère d’influenza aviaire a dévasté les cheptels de palmipèdes et de volailles de l’Ouest de la France, touchant principalement la Vendée et les Landes .
Depuis, l’épidémie ralentit. Aucun nouveau cas n’a été repéré en élevage après le 3 mai. Pourtant, l’onde de choc engendrée par cetten’a pas fini de résonner chez les éleveurs, qui côtoient pour la plupart des bâtiments restés vides depuis l’abattage de leurs bêtes. En effet, le repeuplement prend du temps.
Les éleveurs sont tous des criminels et des psychopathes
Abolition de l'élevage concentrationnaire !
Il serait temps de remettre en question l'élevage intensif non ? Plutôt que de déplorer les ravages de ces élevages qui sont un désastre à ts les niveaux : sanitaires, environnementaux & aussi éthique. La perte économique pour l'éleveur ok mais la tuerie de masse de ces animaux ?
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