En 2014 la « crise grecque » était au plus haut. Le pays s’enfonçait dans les cures d’austérité, mais les mouvements de solidarité se multipliaient et Syriza était aux portes du pouvoir. Depuis, l’expérience de gauche est passée, une droite dure s’est installée aux affaires, et l’économie est repartie, faisant totale abstraction des urgences écologiques. Retour en Grèce, un mois avant les élections européennes.
L’arrivée d’un riche trentenaire à la tête de Syriza en septembre a provoqué une nouvelle scission au sein du parti et ouvert une ère de fortes turbulences pour la gauche grecque. Celle-ci se retrouve éclatée en plus de dix listes pour les européennes, tandis que l’extrême droite continue sa progression.
Mediapart est retourné voir les personnes interviewées début 2015, à l’aube de l’arrivée au pouvoir de Syriza, et en 2019, peu avant la défaite historique de la gauche grecque. La « crise grecque » est passée et certaines situations individuelles s'améliorent, mais la détresse économique demeure. La déception est immense vis-à-vis du monde politique.
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