Une fois encore Flavien Berger nous entraine avec lui dans ses questions : peut-on tutoyer son propre destin dans une chanson ?Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.Bien sûr que non, ce n’est pas la dernière fois : ce n’est qu’un nouveau jour qui commence.
Oui, le 20 janvier prochain pour l'Hyper Weekend Festival avec Bonnie Banane pour une création autour de Brigitte Fontaine et Areski., l’album du duo Fontaine-Areski paru en 1977 qui mélangeait tant de sons de formes et de sources qu'il inspire encore et semble toujours en avance sur son temps. Comme Areski et Brigitte Fontaine Flavien Berger nous parle depuis plusieurs années d’écologie et de technologie, des bonheurs intimes, de la mort, du couple comme des problèmes de communication., dont les paroles résonnent comme une lettre ouverte à son propre destin :
Je n'ai jamais vraiment compris ton visage. C'est à toi que je pense à chaque décollage Plus rien après ton étreinte que ma mémoire. Je vous recommande le clip onirique d'Ici là comme un voyage en pointillé, en flashes : la ville la nuit, depuis un gratte-ciel jusqu'aux entrailles de la ville, le métro aérien, des visages, un musée, un canal souterrain même... Et si vous connaissez un peu l'intérieur de la maison ronde, celle de la radio, il m'a semblé reconnaitre au début un de ces couloirs circulaires qui nous donnent le tournis.
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