D’un point de vue purement politique, cette proposition de loi sur cette maladie gynécologique, inflammatoire et chronique qui touche une femme sur dix,interroge. De par sa formulation, parfois imprécise, mais aussi sur le fond de ses deux mesures. Qu’en disent les associations ? On fait le point.Pour ce qui de l’article 2 de la proposition de loi, la question est vite tranchée.
Pour cette raison, son association, comme d’autres, demande que cette maladie soit inscrite sur la liste des affections de longue durée, dite ALD30. Ce dispositif prévoit le remboursement des consultations, des médicaments mais aussi des hospitalisations. Parmi les maladies qui figurent dans cette liste, on retrouve, entre autres, les hépatites B ou C, le VIH, la maladie d’Alzheimer, la mucoviscidose ou encore les troubles bipolaires.
Sauf que ce dispositif ne bénéficie qu’à une toute petite minorité de femmes atteintes d’endométriose. En 2022, malgré une hausse de 43 % sur un an, elles n’étaient que 13 000 à l’avoir obtenu.Les associations pointent notamment des disparités importantes en fonction des départements.Un constat qu’a reconnu le ministre de la Santé Aurélien Rousseau.
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