en lice au premier tour de ce scrutin, qui s’est déroulé sur fond de grave crise économique et sociale, et dans un contexte de rejet des élites politiques traditionnelles. La participation a été de 45,02 % selon des chiffres encore provisoires de l’Isie . Nabil Karoui et Kais Saied, nouveaux venus en politique, sont pourtant des visages bien connus de l’opinion publique en Tunisie, pays pionnier du Printemps arabe.
Leur réussite présumée s’explique aussi par « l’immense dispersion des candidats », explique Kmar Bendana, professeur émérite d’histoire à l’Université de La Manouba et chercheuse associée à l’IRMC, qui réfute aussi la notion de « candidat antisystème ». Elle souligne aussi la notoriété des deux favoris.
« Aucun des deux candidats [Nabil Karaoui et Kais Saied] n’a de véritable projet politique », renchérit Kmar Bendana. « Il y a eu plus de participation que pour les municipales de 2018 », nuance la professeur d’histoire contemporaine concernant le taux de participation inférieur à celui de 2014 [64 % enregistrés lors du premier tour de la présidentielle].
« Cette élection est un signal fort pour qu’on se secoue », juge Kmar Bendana. « Ça montre que ce qu’on a fait depuis près de 9 ans reste insuffisant, il y a un problème de droit et de gestion au quotidien », déclare la professeur, prônant la patience et des meilleurs élus politiques et des citoyens engagés pour mener à bien la construction des institutions.
C’est un vrai homme arrêté votre propagande les français de merde vous êtes comme un poison ☠️ pour l’Afrique bonde fils de pute
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