C'était panique à bord!", lâche un syndicaliste après la découverte de quelque 170 cas de Covid-19 parmi des saisonniers étrangers cueillant fruits et légumes en Provence. Une propagation facilitée par les conditions de vie souvent sommaires de ces travailleurs invisibles.
Chaque année, ils sont plus de 67.000, selon des estimations de 2016: vivant souvent de façon précaire dans leur pays d'origine, ils viennent ramasser fraises, concombres, melons ou encore cerises en France. Une main d’œuvre productive que beaucoup d'agriculteurs privilégient et ont réclamée même pendant le confinement, quand les frontières étaient fermées.
"Il semble avéré que certains travailleurs, proies des ces +entreprises voyous+, ont été cachés et parfois transférés d'exploitation en exploitation, pour brouiller les pistes sur leur date d'arrivée", déclare à l'AFP Jean-Yves Constantin, premier vice-président de la Mutualité sociale agricole , la Sécurité sociale des agriculteurs.
Fin avril, la préfecture des Bouches-du-Rhône a indiqué à l'AFP avoir mis en demeure une société agricole d'effectuer des travaux d'urgence de mise en conformité de locaux où étaient hébergés 80 saisonniers. L'injonction de l'Etat était de réduire l'accueil à 40 et de raccorder le local à l'eau potable...
On s’en tapeeeeeeee
Voilà c'est qui explique que les états ne peuvent pas se développer sans immigration.
Genre les syndicats sont sur le coup 😂
Seulement avec les travailleurs étrangers , bande de racistes BFMTV
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
La source: LeHuffPost - 🏆 55. / 55 Lire la suite »
La source: RTLFrance - 🏆 82. / 51 Lire la suite »
La source: LeHuffPost - 🏆 55. / 55 Lire la suite »
La source: 20Minutes - 🏆 6. / 93 Lire la suite »
La source: 20Minutes - 🏆 6. / 93 Lire la suite »