Un personnel sans cesse au contact d'un jeune public très peu vacciné - où le respect des gestes barrières est difficile - et les contaminations par le Covid-19 pleuvent dans les écoles. Avec elles, la nécessité de dépister toute la classe de l'infecté et ce, via trois tests. Un parcours intenable que l'Education nationale cherche désormais à assouplir.
Aussi, la rue de Grenelle élargit la palette du choix proposé, ouvrant la"possibilité de recourir à des tests antigéniques en cas d’indisponibilité temporaire des autotests en pharmacie".Un adoucissement qui ressemble à un impératif: en quatre jours - les quatre qui nous séparent de laau retour des vacances de Noël - on a déjà comptabilisé 47.453 contaminations par le Covid-19 parmi les élèves français.
L'intensité de la circulation du virus parmi les plus jeunes et son effet sur le fonctionnement de tout le système d'enseignement promettent d'autant moins de s'amenuiser que le plus jeune public est encore très peu vacciné. D'après les chiffres de
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