vient de sommer la direction, de vérifier au minimum et éventuellement de modifier les parois anti-covid installées au parloir depuis le début de l’épidémie. Bref d’assurer, dans un délai de deux semaines, la bonne qualité acoustique des lieux.
Selon, les détenus et leurs familles, la double plaque en plexiglas bloque certes le virus mais aussi les sons, gênant les échanges ou obligeant à hurler lors des conversations intimes.
La Contrôleure générale des lieux de privation de liberté a récemment indiqué recevoir elle aussi « des lettres, des appels » de proches de prisonniers, qui racontent aussi les cris pour se faire entendre. « Ce ne sont pas des vrais parloirs dans ces conditions », estime Dominique Simonnot.
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