Pour preuve, ce lundi, le directeur interdépartemental de la police aux frontières est là en personne pour la recevoir et répondre à ses questions. Car pour la deuxième fois en dix jours, la députée LFI de la première circonscription d’Ariège a exercé son
« On est à 60 % des capacités du centre en raison des mesures Covid. Il y a un protocole strict, certains secteurs sont placés en septaine dès qu’il y a un cas, six retenus viennent ainsi d’en sortir ce dimanche », explique le chef du centre à la parlementaire. Parfois, les médecins du centre estiment aussi que la maladie n’est pas compatible avec la rétention et font sortir les patients.
Et c’est bien là le drame pour Bénédicte Taurine. « Vous êtes beaucoup ici sans perspective de sortie, certains parce qu’ils ne sont pas reconnus par les pays, mais aussi parce que les frontières sont fermées ou qu’il n’y a pas de vols.