Un appel loin d'être un cas isolé. Taissi, employée de la plateforme Net Ecoute, a au bout du fil une jeune fille victime de"revenge porn". Une histoire d'amour avec un jeune garçon qui finit mal, et ce dernier divulgue alors des photos d'elle dans un groupe de classe sur les réseaux sociaux.
"Envoyer des photos dénudées de soi fait partie de la sexualité adolescente aujourd'hui, que ce soit pour les garçons ou les jeunes filles", explique Taissi. Celle qui vient porter assistance à la jeune victime indique que le partage de photos intimes sur les réseaux sociaux est devenu"un moyen de faire du mal, un moyen d'humilier très courant".
"On va avoir besoin du nom, du prénom de la victime. Éventuellement aussi toutes les informations qu'elle aura concernant l'auteur de ce cyberharcèlement", développe Samuel Comblez, directeur des opérations chez
Certains policiers ignorent que le revenge porn, le cyberharcelement... sont des delits? Problème de formation là GDarmanin MarleneSchiappa
Gênant ça