Comme tous les virus, le SARS-CoV-2 mute: quand il se réplique, des erreurs se produisent. La plupart de ces mutations sont sans conséquence mais certaines peuvent lui donner un avantage pour sa survie.
"Quand on réduit le nombre de contaminations, on restreint le terrain de jeu du virus" et donc les probabilités d'une mutation problématique, explique le Dr Emma Hodcroft, épidémiologiste à l'Université de Berne. Mais certains scientifiques doutent d'un lien entre séroprévalence élevée et apparition des variants.
Mais même immunodéprimé, un patient se défend un peu contre le virus, sans arriver à le chasser complètement. Face à cette "pression immunitaire", "le virus est forcé de muter. Soit il mute et apprend à échapper à cette réponse immunitaire partielle, soit il meurt", poursuit Bjorn Meyer. "L'émergence d'un variant du SARS-CoV-2 au mois d'août en Afrique du Sud, un des pays du monde les plus touchés par l'infection VIH, pourrait résulter d'une réplication virale plus intense et prolongée dans l'organisme des personnes vivant avec le VIH, favorisant le cumul de mutations", note l'Académie de médecine en France.
ABDepois Fermer le ban. La il faut être scientifique pour sortir une ineptie pareille. On le sait que mes virus mutent constamment et qu ils se modifient vous nous ennuyez avec vos conneries. Traitez et soignez les malades et arrêtez de chercher un utopique vaccin.
ABDepois Quel impact mRNA ?
ABDepois Je n’ai plus confiance en l’AFP, vous etes pro Macron, vous etes des collabos , et encouragez la censure. Vous devrez rendre des comptes.
ABDepois Bienvenue dans la sélection naturelle. Ah non, ça se passe comme ça depuis la nuit des temps!
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