Dans l'alimentaire, 48 % des consommateurs allemands ont déjà renoncé aux marques chères, tandis que 36 % ne font plus leurs courses que chez les discounters comme Lidl et Aldi, selon une étude de l'institut IFH. progression rapide du taux d'inflation outre-Rhin
, en hausse de 7,4 % sur un an en avril, a déjà modifié le comportement des consommateurs : fini les achats d'impulsion, l'heure est à la rationalisation. 64 % des Allemands ont réduit leurs dépenses, révèle une étude de l'institut de recherche commerciale IFH, à Cologne, publiée avec Salesforce le 2 mai.
Il faut dire qu'une écrasante majorité d'Allemands pense que la hausse des prix va se poursuivre, et 54 % des personnes sondées craignent que cela n'impacte leur niveau de vie. Dans ce contexte, 39 % ont aussi déjà reporté des dépenses depuis le début de la guerre en Ukraine, en premier lieu dans l'équipement de leur logement, dans la mode et l'électronique.
C'est simple excédent externe, dette publique faible. Ils peuvent augmenter les salaires et les retraites.