#Plantingforthefuture, pouvait-on lire sur les étiquettes accrochées aux 164 arbres disposés dans la clairière de l’hippodrome de Longchamp pour le défilé Dior. Maria Grazia Chiuri pioche, encore une fois, dans les archives de la maison pour sa nouvelle collection . Mais cette fois moins pour embrasser le passé que pour questionner le futur. Que deviendront ces plantes dont on aime tant s’occuper ? C’est la question que posaient les notes du défilé.
Maria Grazia Chiuri a travaillé avec l’équipe du Grand Herbier du Musée d’Histoire Naturelle de Paris pour dessiner les motifs de sa collection, pensée comme un jardin luxuriant où les espèces se rencontrent. Des bouquets de fleurs des champs ornaient de longues robes champêtres ou grimpaient sur du voile et sur des costumes de jardinier. Dans un traitement plus brut, elles étaient incrustées dans une longue robe en résille façon raphia.
Sa réponse ? Un territoire utopique à la manière de Monte Verità, cette communauté d’artistes et de penseurs utopistes installée en Suisse au début du vingtième siècle pour vivre au plus proche de la nature. Elle y faisait référence avec des tie and dye bleu, rose, orange et jaune, travaillés sur des pantalons, une longue robe solaire ou une combinaison.
France Dernières Nouvelles, France Actualités
Similar News:Vous pouvez également lire des articles d'actualité similaires à celui-ci que nous avons collectés auprès d'autres sources d'information.
La source: Vogue.fr - 🏆 77. / 51 Lire la suite »
La source: Vogue.fr - 🏆 77. / 51 Lire la suite »
La source: VanityFairFR - 🏆 56. / 53 Lire la suite »
La source: Vogue.fr - 🏆 77. / 51 Lire la suite »
La source: Madamefigaro - 🏆 9. / 83 Lire la suite »
La source: ELLE - 🏆 65. / 51 Lire la suite »