ans, il n’y avait rien ici. Et aujourd’hui, il y a une ville écologique, avec de l’électricité, des arbres, un air pur, le tri des déchets. Nous avons déjà traversé trois cyclones, et l’eau n’est pas montée à plus d’1,20 mètre. Je suis très optimiste pour l’avenir.»
Il est plus de 20 heures au Bangladesh, et perché sur le toit d’un abri anticyclonique, le commodore Mamun Chowdhury, chef du projet de Bhasan Char, filme en direct pour«Regardez toutes ces lumières. On voit bien quels sont les bâtiments déjà habités. De l’autre côté, vous apercevez le phare, les deux héliports et le camp de base de la Navy. Derrière, un navire travaille à surélever la digue de protection.
Une pure folie, mais sans doute n'ont-ils pas d'autres choix ?... dramatique !
LA LIBERTÉ NE PEUT EXISTER SANS SACRIFICES, NOTRE RÉVOLUTION DÉMOCRATIQUE, NOUS L' AVONS PAYÉ CHÈREMENT PAR LE SANG VERSÉ ! PEUPLE BIRMAN, NE COURBE PLUS LE DOS, ET AFFRONTE AVEC COURAGE CES MILITAIRES DONT SEULS LES PLUS GRADÉS SE REMPLISSENT LES POCHES SUR VOTRE MALHEUR !!!
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