artérielle non contrôlée par les traitements, mais aussi le tabac, le diabète, ou encore la sédentarité.Mais selon des chercheurs danois, deux autres facteurs externes en lien avec le lieu de vie pourraient avoir un impact sur la survenue d’un AVC. Il s’agit de laThe Lancet Regional Health - Europe.
Pour mener à bien leur recherche, les spécialistes se sont basés sur l’adresse des résidents du Danemark âgés de moins de 50 ans, soit un panel de plus de 18 millions de personnes. Entre 2005 et 2017, des chercheurs ont relevé les lieux de vie et ont mesuré l’exposition à trois facteurs, la pollution atmosphérique par des
, à l’exposition du bruit lié au trafic routier et l’accès à des espaces verts aux abords du domicile.Au total, sur cette période, 94.256 cas d'AVC ont été enregistrés. Les auteurs ont noté que deux facteurs bien spécifiques étaient associés à un risque accruassociés à un risque plus élevé d'AVC. Les auteurs précisent que l’exposition à un seul de ces deux facteurs augmenterait le risque d’AVC.
Dans le cadre d’un domicile n’étant pas touché par la pollution atmosphérique ou au bruit lié au trafic routier, la présencele risque d’AVC. En revanche, dans le cas où le domicile était affecté par l’un de ces deux facteurs, les auteurs n’ont noté aucune réduction du risque d’AVC lié aux espaces verts.
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